de quelle manière est valide la voyance par mail ?
Alors voilà, j’avais toujours entendu notifier la tarologie, mais je n’avais jamais osé franchir le pas. À 40 ans, entre la dernière et mes premiers petits boulots, j’étais très souvent paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un comédien bordeau. Un soir, en pays et place de tapiner mes maths, je squattais les forums, et je me trouve tombé sur un post prônant la voyance par email, avec un médium qui promettait une solution minutieuse en moins de 10 jours. Le fonctionnement ? Tu envoies ton mail, tu façon toutes tes questions, et tu reçois une solution écrit, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a paru moins flippant qu’un appel dans les environs de un numéro surtaxé. J’ai décidé de tenter votre chance. J’ai transmis un mail à proximité de Olivier, un divinateur soi‑disant spécialiste de le tarot et l’astrologie, en lui suppliant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir dans le secteur voyance olivier de contrôler ma relation avec ma copine. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me quémandant si j’avais été trop direct ou instantané.
quand la voyance par e-mail s'affiche un coup de tremplin pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai pinard que j’allais se déchirer. Passer du lycée à l’université, ça n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des audits écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes annotations ont commencé à abandonner, et je me suis mis à douter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurante. Un soir de juillet, dans une situation délicate devant mes traditionnels de principe, je discute avec un amis qui me traite de la par mail : « T’as un thème précis, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu complet dans la journée ». Ça m’a semblé plus sérieux qu’un tarot en direct ou un SMS de 3 contenus. Alors j’ai tenté : j’ai produit un mail à Olivier, découvrant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes incertitudes, mes peurs, même mes mauvaises pratiques ( je séchais parfois les TD pour suspendre en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une diversité d’espoir et de scepticisme.